Le verset 1 de la saga D' de Zell (comme nous l'avons rebaptisée sur nos pages) s'achève sur un " Dieu à l'antique " se proclamant " de la race irritable des poètes ". Il pourrait tout aussi bien se rouler par terre et frapper le sol en criant à la façon de Zénon de Cittium : " Tu me veux ? Me voilà ! "Dans tous les cas l'avertissement est sérieux. Tous aux abris ! ça va chier ! Dieu règle ses comptes avec le monde et Zellmeyer se refait libertaire. " Dies irae, dies illa solvet soeclum in favilla" . On ne plaisante pas. David et la Sybille sont témoins !