Dans le palais des spectacles bondé, Nicolas Sarkozy, qui, de son propre aveu, n'avait pas été convié aux cérémonies de Colombey-les-deux-Eglises, a appelé « à la rupture » arguant justement du fait que le général De Gaulle « a toujours été l'homme de la rupture ». Au cours de son allocution, il s'est prononcé pour « la suppression de la taxe professionnelle », qu'il souhaiterait voir remplacer « par une contribution dont l'assiette serait moins stigmatisante pour l'effort d'investissement ». Il a également proposé d'instaurer une « Sécurité sociale professionnelle » et la création « d'une fiscalité écologique sur les pollutions »...