L'entrée principale, la gigantesque porte Binet, était située sur la place de la Concorde. Le visiteur se dirigeait vers le pont Alexandre III. Flambant neuf, il relie l'esplanade des Invalides, sur l'autre rive de la Seine, et, de son côté, l'avenue, baptisée, pour cause de russophilie aigue, du nom de Nicolas II - c'est aujourd'hui l'avenue Winston Churchill. De chaque côté de celle-ci ont poussé, exprès pour l'Expo, deux grands palais, l'un plus que l'autre. Ils remplacent le vieux Palais de l'Industrie, mis à bas.
Caritas, Amour, la Charité: depuis 1682 une idée et un lieu au coeur de Sainté. Découvrons son histoire et quelques-uns de ses secrets.
Lire la suiteLe Fouet était un journal hebdomadaire se présentant comme un « organe indépendant, illustré, satirique et humoristique de Firminy et sa région ».
Lire la suiteLe village d'Ambierle, dans le Roannais, est connu pour son ensemble de bâtiments religieux autour desquels il s'est développé. C'était à l'origine une abbaye bénédictine, rattachée à Cluny puis réduite à l'état de prieuré au tout début du XIIe siècle. Son église aujourd'hui paroissiale (ancienne église prieurale) est dédiée à saint Martin. Elle fut reconstruite à l’initiative d’Antoine de Balzac d’Entragues après avoir été ravagée par un incendie en 1441. Elle est de style gothique et date d’avant 1480. Classée MH, elle possède une nef d'une hauteur intérieure de 16 mètres. Elle conserve un retable admirable (lire) et le tombeau d'un enfant du pays, Mgr Jean-Marie Odin, évangélisateur du Texas (1800-1870). Les grandes verrières de son abside et vitraux des bas-côtés sont également remarquables. Elle a une autre particularité à rechercher dans les sculptures décorant les rangées de sièges (ou stalles) où prenaient place les moines.
« Le sujet principal de cette observation, utopiste ou fripon, est un anormal, autrefois quelque peu aliéné. Il s'est fait depuis passer pour prophète, et mêle à ses fourberies des simagrées pseudo-religieuses qui rassemble des disciples instables en flattant leurs passions les moins avouables...»
1953-2008. Plus d'un demi-siècle s'est écoulé depuis les évènements racontés ici. A l'époque, la monnaie s'échangeait en francs (anciens encore) et il n'y avait pas de Premier Ministre mais un Président du Conseil. Celui en fonction se nommait Joseph Laniel, adhérent à un parti de droite proche du Centre National des Indépendants et Paysans d'Antoine Pinay. Ce Laniel fut député du Calvados de 1932 à 1958. Il s'est distingué, lui aussi, en votant les pleins pouvoirs à Pétain en juillet 1940. Il "atterrit" dans la Résistance quelques années plus tard comme le firent certains hommes politiques de la IIIe République lorsqu'ils sentirent le vent tourner. Il s'opposa aussi à l'impôt sur le capital. Vous voyez que la droite actuelle n'a pas changé. Il devint président du Conseil des Ministres le 27 juin 1953.
Si à Montbrison les murs parlent, que nous disent-ils ?
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