Des étoiles de David constellent les cartes routières dès lors qu'on s'approche du nord-est de la France. Elle ne symbolisent pas d'anciennes synagogues mais les brasseries. Cette étoile, dite du brasseur, évoque aussi les quatres éléments, mis en oeuvre dans l'alchimie brassicole. Avec cet article, nous nous intéressons aux brasseries stéphanoises. Vos contributions sont les bienvenues: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
" C'est le soir du 23 juin que d'un bout de France à l'autre bout, je pourrais même dire par toute l'Europe et par l'Asie, se célèbre la fête du solstice d'été, la fête du soleil, la Saint-Jean.
Lire la suiteNdFI : L'Ecomusée des monts du Forez (Usson-en-Forez) avait organisé en 2010 une exposition sur le thème de la représentation des campagnes au XIXe siècle. Elle présentait des objets tirés de ses collections - ultimes traces d’une culture paysanne éternelle, définitivement nostalgique ! - venant ponctuer un parcours muséographique riches d'une trentaine de peintures. Signées Jean-François Millet, Charles Beauverie, Armand Charnay, Edmond-Charles Yon, Gabriel Moiselet..., celles-ci provenaient du Musée Crozatier (Le Puy), Les Amis du vieux Pommiers (Pommiers-en-Forez), le Musée de la Haute-Auvergne (Saint-Flour), de collections particulières...
Ce texte, émanant du musée, avait été publié à l'époque dans nos pages. Il avait disparu lors de nos déboires techniques. Le revoilà. Mais auparavant, quelques mots sur les peintres foréziens dont il sera question, d'après Le dictionnaire des artistes foréziens du XIXe siècle de Jacques Beauffet (Ceysson, 2015).
Le réalgar est un minéral, un sulfure d'arsenic aux cristaux rouges. Exposé à la lumière, il se transforme en pararéalgar de couleur jaune-orangée et qui est proche de l'orpiment. Ceux qui en possèdent le conservent donc dans le noir. Connu de très longue date, son nom vient de l'arabe signifiant « poussière de caverne » ou « poudre des rats ». François Villon au XVe siècle le mentionnait dès le début d'une de ses ballades :
Article initialement publié fin 2012.
Saint-Etienne, ancienne capitale du cycle, a aussi – on l'a oublié – fabriqué des automobiles entre 1899 et 1946. Serge Richoud, grâce au travail de documentation de son père, autre passionné, livre dans un petit ouvrage de quelque trente pages l'apport de la Loire dans ce domaine.
Lire la suite : Un livre sur les constructeurs automobiles ligériens
Comme chacun sait, la fin du monde n'a pas eu lieu en 2012. C'est fort heureux car à notre connaissance si des opérations de sauvetage extraterrestres étaient programmées en divers lieux (Col-de-Vence, pic de Bugarach...), aucune ne l'était dans notre département. C'est en effet un fait assez établi que les Martiens, Sélénites et autres, verts ou gris, se foutent aussi éperdument de notre sort. On en voudrait pour preuve les données consultables par tout un chacun sur le site du Groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiauxs non identifiés (GEIPAN). Celui-ci a répertorié 213 cas d'observation en Rhône-Alpes et seulement 11 concernent la Loire. Nous sommes loin, très loin, derrière la Haute-Savoie et les autres départements.